Les prix de l’énergie subissent une hausse spectaculaire à l’approche de l’hiver. Les dirigeants tentent par tous les moyens de réguler et de contrôler ces dérapages, malgré les errements de leurs décisions sur le dossier de l’énergie.
Alors que l’hiver s’annonce les prix de l’énergie s’affolent et les politiciens de tous bords essaient de trouver des parades pour convaincre de leur avenir électoral : exercice difficile car ce sont les décisions contradictoires qu’ils ont tous soutenues qu’il faudrait discuter aujourd’hui.
Certes on ne pouvait pas anticiper une pandémie aussi forte combattue par une baisse de la production, mais on pouvait prévoir une reprise importante de l’économie et donc de la demande d’énergie abondante et bon marché dans des délais courts. Les sources fossiles (charbon, pétrole, gaz) représentant 80% de l’énergie consommée dans le monde, il était clair que la période que l’on allait vivre après le pic du covid devait connaitre une augmentation importante de la demande et donc une augmentation des prix si l’offre ne pouvait pas suivre . C’est bien ce qui est arrivé alors que l’ensemble des pays développés essayait de réduire la production d’hydrocarbures « pour sauver la planète ». On n’a rien sauvé du tout, la consommation de charbon a repris de plus belle, et celle de pétrole aussi, quant au gaz, désormais indissolublement associé aux énergies intermittentes (éolienne et solaire), il connait un engouement tel que certains en viennent à oublier que sa combustion dégage du CO2 ! On a donc voulu réduire l’offre, la demande s’est accrue et les prix flambent : il n’y a que les politiciens européens et leurs commentateurs attitrés pour pouvoir s’en étonner !
Mais la France , poussée par l’Allemagne, a encore fait mieux, c’est le moment qu’elles ont choisi pour accélérer à la fois la demande électrique dans les mobilités (véhicule électrique) en voulant restreindre l’offre en pénalisant la production d’origine nucléaire. On a donc surinvesti dans l’énergie électrique intermittente, ce qui coute cher à l’économie des pays, on a désinvesti dans un nucléaire déjà amorti et qui ne coute plus que les frais de fonctionnement, et désormais on a des prix qui ont augmenté tandis que les risques de pénurie existent si l’hiver est froid et si la quantité de voitures électriques augmente trop vite, alors que les constructeurs sont mis à l’amende s’ils n’en vendent pas beaucoup. C’est UBU roi, les libéraux déclarés se retrouvant des étatistes impénitents et poussant des solutions absurdes à des problèmes qu’ils ont eux-mêmes créés contre les désirs profonds des peuples dont ils ont la charge.
L’erreur de politique est visible à l’œil nu, il fallait conserver, au moins, la rente de l’électricité nucléaire, abondante et bon marché, pour passer le cap sans douleur extrême de diminution progressive de consommation d’énergie fossile. C’était d’ailleurs le sens du mot « transition » que chacun utilisait avec bonheur. On a préféré la brutalité et la coercition, et ceci au niveau des gouvernements comme des grandes municipalités, et le peuple constate une augmentation importante de ses notes d’énergie -électricité, gaz, essence, diesel – tandis qu’on lui annonce que ce n’est pas fini et que des coupures d’électricité sont prévisibles bien que l’on ait accéléré le programme « d’effacement » des entreprises, c’est-à-dire que les volontaires industriels vont recevoir de l’argent s’ils consentent en période de pénurie à arrêter leurs installations !
Le bon sens populaire voudrait que l’on revienne sur une politique inefficace et que tous les postulants à la magistrature suprême annoncent dès maintenant un examen et une remise en question des causes qui nous conduisent aujourd’hui à cette charge insensée ,et créée de toutes pièces, qui va peser durablement sur tous les foyers de France (et d’ailleurs) . On peut observer qu’il n’en est rien, une politique qui montre son échec est considérée comme intangible et chacun rivalise de mesurettes destinées à « protéger les plus fragiles » des conséquences de décisions imbéciles. Ce n’est plus l’heure de tergiverser, si l’on se préoccupe vraiment du peuple, de son ensemble, fragiles et moins fragiles, il faut clairement interroger la politique restrictive suivie depuis dix ans qui a conduit à la fermeture de la Centrale Nucléaire de Fessenheim, à l’arrêt du programme Astrid de réacteurs à neutrons rapides, aux non décisions du remplacement des Centrales par des EPR 2, à l’explosion des projets d’éoliennes hors de prix conduisant à des atteintes inacceptables à l’environnement, aux installations sur des magnifiques plans d’eau de centrales solaires mieux adaptées aux déserts, à la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) qui rançonne tous les acteurs économiques, à la politique européenne de l’énergie qui appelle « vert » ce qui ne l’est pas… Il faut revenir sur les dogmes et obtenir que l’on observe la réalité : c’est la politique suivie qui mène aux prix de l’énergie trop élevés pour la population européenne( et française !), c’est cette politique qu’il faut interroger et changer. Il ne faut pas accuser le ciel, la malchance, ou le destin, et ne pas inventer des rustines inapplicables pour corriger des erreurs, il faut simplement changer de politique énergétique.
On ne analyse. Mais pour changer ses erreurs encore faut il les voir et les reconnaître. Nous en sommes loin tant le dogme l’emporte sur la raison
Merci monsieur.
Voilà qui est dit fort et clair…
Devons nous continuer à jouer avec les incohérences ?
Reprenons le problème et mettons en face, des solutions viables et acceptables,
pour la planète,
pour notre société,
pour les usagers.
Bravo Loïc. L’UE a renié son ADN : fournir à ses citoyens et son industrie de l’énergie abondante et bon marché. Ils ont tout faux : énergie chère et en danger de rupture d’approvisionnement, perte de compétitivité, défiguration des paysages, achats des équipements en Chine, et en prime …augmentation des émission de CO₂ mondiales.
Ils sont parvenus à détruire la solide réputation d’expertise qu’avait la Commission européenne pendant des années pour faire de la politique de bas niveau.
Il ne faut jamais désespérer de la raison!
Le chef de l’État veut annoncer, avant Noël, la construction de six nouveaux réacteurs EPR et relancer le débat sur le mix énergétique.
Cap sur le nucléaire. Les concessions aux écologistes du début de mandat ont vécu, Emmanuel Macron s’engage de plain-pied dans le développement de la filière de l’atome. Après avoir annoncé la semaine dernière des investissements pour 1 milliard d’euros dans les petits réacteurs nucléaires (SMR), le chef de l’État cherche le bon moment pour annoncer la construction de six nouveaux EPR.
Elle sera officialisée avant les vacances de Noël.
Ce qui est étonnant est que les écologistes du gouvernement n’ont pas démissionné. La soupe doit être bonne.
Je ne vois pas pourquoi le gouvernement chercherait à faire le bonheur du peuple. Ce sujet n’est qu’un élément de langage pour naïfs. En réalité, la politique s’exerce contre le peuple, en faisant attention à ne rien en laisser paraître : on voit bien que tout, dans notre société se dégrade au fil des mandatures de droite, de gauche et du centre, pour qui veut bien ouvrir les yeux. Et ce n’est pas propre à la France, mais à tous les pays dirigés par des mondialistes.
Déstabilisation des états souverains (législations supra-nationales, soutien au terrorisme), captation des richesses privées (suppression en cours des monnaies fiduciaires) et publiques (privatisations forcées, vente d’entreprises stratégiques), écoute et surveillance des populations (réseau Échelon, réseaux de satellites, IA et exploitation des data), armes psychotroniques (armes à faisceau dirigé, létales ou non), eugénisme, géo-ingénierie (manipulation du climat avec le programme HAARP), OGM, empoisonnement généralisé des sols (pesticides), de l’air (chemtrails et chembombs), de la mer (pollutions massives au mercure) et finalement de toute la chaîne alimentaire, maladies qui en découlent et explosent (trisomie, autisme, cancers, maladies auto-immunes), guerres et génocides, destruction des religions et des valeurs traditionnelles, dégradation de l’éducation scolaire, démantèlement des services publics (SNCF, école, bureaux de poste, hôpitaux), dégradation des communs (faune, flore, eau, air…), division et opposition des communautés, crédit social, désintégration de la cellule familiale, promotion des modes de vie alternatifs.
Comment ne pas voir, devant une telle profusion et une telle diversité d’exactions, une volonté d’asservissement de l’humanité ?
Et pour en revenir à l’énergie, il n’y a pas de raison pour que nos gouvernants facilitent la vie des Français, ce serait à l’encontre de leurs objectifs de mondialistes. Il vaut mieux mettre en cause les marchés ou les spéculateurs. Ça donne au bon peuple l’impression qu’ils sont compétents et bienveillants, mais confrontés à un ennemi extérieur. L’ennemi est intérieur, à la tête de l’État et ne fait pas d’erreurs politiques, il suit sa feuille de route.
Je suis persuadé que llfp à une réponse audible face aux interrogations de ces journalistes…
Climat: Total connaissait son impact sur le réchauffement dès 1971!
Une étude montre que le géant pétrolier français a contribué, avec le reste de l’industrie, à masquer et à nier la réalité du changement climatique…
https://www.huffingtonpost.fr/entry/climat-total-connaissait-son-impact-sur-le-rechauffement-des-1971_fr_616fd498e4b0931432045a54
L’Espagne, l’Italie et la Grèce ont dernièrement demandé à la Commission d’étudier l’option d’achats et de stockage groupés de gaz naturel.
D’autres États membres, comme l’Allemagne, ne sont pas intéressés. Nous avons de faibles attentes concernant la « boîte à outils » de la Commission européenne pour faire face à la flambée des prix de l’énergie, le bloc n’est actuellement confronté qu’au début d’une crise énergétique!
L’Allemagne affirme qu’elle n’a pas de problème avec le gaz puisqu’elle a obtenu des contrats privilégiés, Berlin est également sceptique à l’égard d’un système volontaire entre les États membres intéressés, qui fausserait le marché européen . Je crois que tout est dit!
La Suède et les Pays-Bas soutiennent l’Allemagne, arguant que certains pays de l’UE auraient dû envisager d’investir dans leur sécurité énergétique il y a de nombreuses années… Et Berlin s’oppose plus que jamais à la politique nucléaire de la France…
Je ne vois pas pourquoi le gouvernement chercherait à se préoccuper du peuple. Ce sujet n’est qu’un élément de langage pour naïfs. En réalité, la politique s’exerce contre le peuple, en faisant attention à ne rien en laisser paraître : on voit bien que tout, dans notre société se dégrade au fil des mandatures de droite, de gauche et du centre, pour qui veut bien ouvrir les yeux. Et ce n’est pas propre à la France, mais à tous les pays dirigés par des mondialistes.
Déstabilisation des états souverains (législations supra-nationales, soutien au terrorisme), captation des richesses privées (suppression en cours des monnaies fiduciaires) et publiques (privatisations forcées, vente d’entreprises stratégiques), écoute et surveillance des populations (réseau Échelon, réseaux de satellites, IA et exploitation des data), armes psychotroniques (armes à faisceau dirigé, létales ou non), eugénisme, géo-ingénierie (manipulation du climat avec le programme HAARP), OGM, empoisonnement généralisé des sols (pesticides), de l’air (chemtrails et chembombs), de la mer (pollutions massives au mercure) et finalement de toute la chaîne alimentaire, maladies qui en découlent et explosent (trisomie, autisme, cancers, maladies auto-immunes), guerres et génocides, destruction des religions et des valeurs traditionnelles, dégradation de l’éducation scolaire, démantèlement des services publics (SNCF, école, bureaux de poste, hôpitaux), dégradation des communs (faune, flore, eau, air…), division et opposition des communautés, crédit social, désintégration de la cellule familiale, promotion des modes de vie alternatifs.
Comment ne pas voir, devant une telle profusion et une telle diversité d’exactions, une volonté d’asservissement de l’humanité ?
Et pour en revenir à l’énergie, il n’y a pas de raison pour que nos gouvernants facilitent la vie des Français, ce serait à l’encontre de leurs objectifs de mondialistes. Il vaut mieux mettre en cause les marchés ou les spéculateurs. Ça donne au bon peuple l’impression qu’ils sont compétents et bienveillants, mais confrontés à un ennemi extérieur. L’ennemi est intérieur, à la tête de l’État et ne fait pas d’erreurs politiques, il suit sa feuille de route.
Je ne vois pas pourquoi le gouvernement chercherait à se préoccuper du peuple. Ce sujet n’est qu’un élément de langage pour naïfs. En réalité, la politique s’exerce contre le peuple, en faisant attention à ne rien en laisser paraître : on voit bien que tout, dans notre société se dégrade au fil des mandatures de droite, de gauche et du centre, pour qui veut bien ouvrir les yeux. Et ce n’est pas propre à la France, mais à tous les pays dirigés par des mondialistes.
Déstabilisation des états souverains (législations supra-nationales, soutien au terrorisme), captation des richesses privées (suppression en cours des monnaies fiduciaires) et publiques (privatisations forcées, vente d’entreprises stratégiques), écoute et surveillance des populations (réseau Échelon, réseaux de satellites, IA et exploitation des data), armes psychotroniques (armes à faisceau dirigé, létales ou non), eugénisme, géo-ingénierie (manipulation du climat avec le programme HAARP), OGM, empoisonnement généralisé des sols (pesticides), de l’air (chemtrails et chembombs), de la mer (pollutions massives au mercure) et finalement de toute la chaîne alimentaire, maladies qui en découlent et explosent (trisomie, autisme, cancers, maladies auto-immunes), guerres et génocides, destruction des religions et des valeurs traditionnelles, dégradation de l’éducation scolaire, démantèlement des services publics (SNCF, école, bureaux de poste, hôpitaux), dégradation des communs (faune, flore, eau, air…), division et opposition des communautés, crédit social, désintégration de la cellule familiale, promotion des modes de vie alternatifs.
Comment ne pas voir, devant une telle profusion et une telle diversité d’exactions, une volonté d’asservissement de l’humanité ?
Et pour en revenir à l’énergie, dans ce contexte pourquoi chercherait-on à appliquer une politique intelligente ? Ce serait remettre en cause ses propres objectifs mondialistes…
Il est ahurissant que l’on découvre aujourd’hui que l’on n’a pas d’autre vrai choix que faire repartir le nucléaire. Les politiciens qui ont voulu jour au plus fin (exemple la cible à 50%, la fermeture de Fessenheim) sont disqualifiés. Et il ne faut pas se contenter d’un virage timide. Il faut faire revenir en masse les compétences vers le nucléaire, recruter les meilleurs ingénieurs sortis d’école, et il faut bien sur lancer d’urgence des chantiers. Il est faux de dire qu’il faut 20 ans pour construire un réacteur. Cela peut se faire en 3 ans si on lance des séries et si on se débarrasse des guérillas retardatrices et des bureaucrates inefficaces (ou encouragés en sous-main à harceler le nucléaire). Il faut bien sur aussi relancer les usines métallurgiques, la chimie…Et il ne faut pas non plus hésiter à prendre ce qu’il y a de meilleur dans le monde. Vouloir tout faire avec des produits maison est toujours une erreur. Les premiers PWR français doivent beaucoup aux importations. Quand on veut aller vite il ne faut pas hésiter à aller chercher ailleurs plutôt qu’à vouloir tout réinventer.
Bonjour, la politique de renchérissement de l’énergie est un outil utilisé par les mondialistes pour aller vers une société mondialo-comnuno-gaucho-régressiste. Bel article Monsieur Prigent. A quand des politiciens honnêtes et compétents au pouvoir ? En tout cas pas avec en marche arrière à 80 km/h… Merci.